Voilà enfin une inspiration afin de vous écrire ce premier article de blog !
Le processus d’écriture a été long…
D’abord, j’apprenais à écrire mes idées, mes pensées et reconnaître mes différences, mes compétences et mes qualités grâce à plusieurs ateliers d’écriture, différents thèmes.
J’avoue que pendant de longues semaines, je souhaitais un sujet parfait, une écriture parfaite, puis je me suis souvenu d’une phrase qui m’a été dite plusieurs fois par différents formateurs : « mieux vaut quelque chose de fait que de parfait ! ».
Oui en effet, si nous attendons la perfection, déjà ce n’est pas formidable car celle-ci ne viendra pas, nous trouverons toujours quelque chose à redire, le texte écrit pourra toujours être corrigé et effectivement, le temps d’éditer sera passé de date (sourires).
Les heures deviendront des jours et les jours défileront et seront des mois et ainsi de suite…
Qu’est-ce qui m’a enfin donné l’occasion de vous écrire ce premier texte, et bien une question sur Facebook : « Si vous pouviez dîner avec un auteur, mort ou vivant, qui choisiriez-vous et quelles questions lui poseriez-vous ? ».
Ma réponse est : Laurent Gounelle et la question : Comment transmettre aux personnes le gout de réaliser leurs rêves sans qu’elles soient influencées et tout en gardant leur personnalité ?
Parce que cette question est un leitmotiv pour mon activité, je souhaite accompagner des personnes vers leurs objectifs tout en conservant et en étant la plus adaptée à leur personnalité, en préservant et en bichonnant leurs ressources internes.
Au fond, la nature est bien faite quand nous nous arrêtons et nous prenons le temps d’observer. Chaque fleur, chaque arbre, chaque plante, chaque insecte a sa raison d’être, son rôle, sa place.
C’est parce que j’aime l’inclusion, la bienveillance que j’adapte et je crée des suivis pour chaque personne qui vient me voir avec ses objectifs, ensemble, nous trouvons des solutions qui lui sont appropriées, en harmonie avec ses valeurs et ses ressources internes.
C’est parce que je n’aime pas proposer des protocoles tout fait, à tout le monde, travailler de manière mécanique, automatique comme si je travaillais à la chaîne, ce trait de caractère qui confère à ma pratique son côté humain, convivial et rassurant.
Valérie SCHMITT
